Sunday, February 21, 2010

Zuhair Murad présente sa collection automne-hiver 2009-2010
au Festival International de la Mode

A l'occasion de la 12ème édition du Festival International de la Mode, qui a eu lieu du 25 au 27 juillet 2009 à la ville de Kotor (Monténégro), le styliste libanais Zuhair Murad a été invité pour présenter sa collection de prêt-à-porter automne-hiver 2009-2010.

C’est sur la place de la cathédrale Saint Triphon, que les défilés ont été organisés sur un podium de 18 mètres de long et avec la complicité de jeunes et ravissants mannequins venus de Serbie. Des défilés qui ont mis à l’honneur, après la maison Dior et Révillon en 2008, une sélection de créations issues des collections prêt-à-porter automne-hiver 2009 2010 des prestigieuses maisons Emanuel Ungaro, Zuhair Murad et Diane von Furstenberg.

Zuhair Murad a donné la touche Couture avec son style glamour et élégant cher aux couturiers libanais. Cet été 2009, Zuhair Murad a signé une collection exclusive destinée au Moyen Orient pour la maison Mango. Cette édition limitée a aussi été proposée à Paris et New York.Ivana trump, Paris Hilton, Beyonce ou encore Whitney Houston sont des accros du couturier libanais qui monte

La collection Zuhair Murad intitulée « Winter Rhapsody » est inspirée d’un décor hivernal d’une blancheur magique et mystique totale.

Des matiè­res aériennes comme le tulle et la dentelle rendent à l’ensemble des robes leur aspect naturel. Gris clair, blanc de glace, champagne, amande, toutes contrastées par des coutures et finitions métallisées. Des cristaux Swarovski sont brodés sur du satin et du chiffon donnant tantôt l’impression de pluie de perles tantôt de larmes de cristal ; les hauts sont cou­pés de façon rigide et contras­tent avec les robes vaporeuses. Des applications en lurex et métal accen­tuent le bourdonnement de l’air.

Les robes en velours déga­gent des éclairs lumi­neux et rap­pel­lent les reflets d’un élégant voile de glace. La gamme de cou­leurs est com­plexe, ses nuan­ces vont d’un vio­let foncé à un lilas doux pour finir par un tur­quoise fané. Grâce à des nuan­ces cou­leur chair les robes semblent livrer le corps au monde sauvage. Étoles en renard, boleros et vestes en vison viennent completer la sil­houette de ces heroïnes hivernales.

Les bro­de­ries et les applications s’adoucissent par des nuances plus claires. Les épaulettes arrondies et la ligne des han­ches deve­nues l’axe du corps font allusion à une anatomie pres­que Victorienne. Stalactites, flo­cons de neige et éclairs évoluent autour de robes bus­tier et s’impri­ment comme des motifs éparpillés sur des cor­sets rigides et des guêpières cloutées. De cette concoction spectaculaire emerge une sensualité glaciale enchanteresse.

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